J’ai beaucoup de chose à vous dire sur moi, mais je ne sais pas par où commencer. Je vais commencer par le début. Je suis une fille perfectionniste et charmante. Dans mon boulot je suis très convaincante et coopérative. Je suis toujours là pour venir en aide aux autres et je suis toujours disponible pour mes collègues de travail. Je suis efficace lorsque je fais une opération et une passionnée par mon boulot. J’ai des défauts comme tout le monde je suis autoritaire et je ne m’en cache pas. Lorsqu'un patient décède je dois avouer que je suis très émotive, mais j’essaye de ne pas le montrer c’est plutôt difficile pour être honnête. Je dois avouer que parfois je suis trop envahissante et mes collègues de travail ne se gêne pas pour me le dire, mais ils le disent d’une façon respectueuse. Bon d’accord j’admets que je suis têtue lorsque c’est non et c’est difficile me faire changer d’idées.

Végétarienne • aime venir en aide aux autres • aime le sport • faible pour l'équitation • aime le dessin • aime les animaux • faible pour la photographie • aime la méditation et le yoga • aime faire à manger • à une passion pour les sushis • déteste les serpents • aime le tofu comme jamais • aime les aliments piquants, mais pas trop.

Je m’appelle Kiana Kalakahua et je suis née le 1 mai 1990 à Hawaii dans la ville de Honolulu. J’ai 3 sœurs et 2 frères avec qui je suis très proche et encore aujourd'hui. Mes parents sont divorcés depuis un certain moment. Je dois avouer que j’ai eu beaucoup de misère à m’en remettre parce que pour moi les parents ne devraient jamais divorcés ils devraient s’aimer pour toujours. Mes parents sont médecins, donc voila pourquoi je me suis lancée dans cela. Ma sœur a pris un autre chemin elle ne voulait rien savoir de la médecine.

J’ai toujours été bonne à l’école et les gens me surnommaient l’intellectuelle. Je portais des grosses lunettes et les gens se moquaient de moi. J’ai vécu de l’intimidation à l’école au primaire comme au secondaire. J’ai pensé au suicide à plusieurs reprises, mais je n’ai jamais posé le geste. Je suis allée consultée une psychologue afin qu’elle m’aide à sortir de ma coquille et à mieux me sentir. Je l’ai vu à plusieurs reprises et j’ai eu beaucoup de misère, mais au final j’ai pris de l’assurance et je me suis dégênée. Les gens n’arrivaient pas à croire que je pouvais changer avec le temps.

Ça me faisait chaud au cœur et j’ai commencé tranquillement à me faire des amis. Après le décès de mon oncle et ma tante Kelokani est venue habiter avec nous. Elle a eu de la peine et j’ai été la pour elle et encore aujourd'hui. Pour moi Kelokani n’a jamais été ma cousine, mais ma sœur. On a toujours été proche l’une de l’autre et encore aujourd'hui. Je suis retournée à l’école afin d’obtenir mon diplôme pour devenir médecin et après mon stage ils m’ont engagé.

Tout s’est bien passé mes collègues de travail était fort bien sympathique je me suis faite des amis. Ma vie a bousculé le jour ou j’ai perdu un patient j’étais en train de l’opérer pour une tumeur au cerveau et son cœur s’est arrêté net. J’ai tout lâché et j’ai essayé de le réanimer, mais il n’avait rien à faire. Une fois le décès constater je suis sortie de la salle d’opération je me suis enfermée dans la salle de bain et je me suis mise à pleurer parce que je me disais que c’était de ma faute que peut-être j’aurais pu toucher au nerf dans le cerveau une opération au cerveau est loin d’être facile. J’ai demandé un congé afin de me remettre tout ça.

Je dois dire que ça m’a pris beaucoup de temps à m’en remettre. Je n’avais plus envie de rien faire j’ai fait comme une dépression parce que je n’arrivais pas à me pardonner la mort de mon patient. Je me suis dis que je ne pouvais pas sauver tout le monde, mais la mort de ce patient m’a beaucoup touché. Ça m'a prit du temps à m'en remettre et encore aujourd'hui j'ai de la misère avec la date et l'heure parce que ça me rappelle cet affreux souvenir j'espère un jour me remettre de tout ça et de me dire que dans la vie on ne peut pas sauver tout le monde.