Je suis vraiment désole baby girl. J'espère que tu sera mesure de pardonner
J'avais besoin de sortie de mon travail. Puis la caféine commence me manque énorme. Mais je dois dire que je suis plus que tanner du café dégoûtant de l'hopital. J'avais envie d'un vrai et bon café. Puis je me dis que je pouvais en profiter pour travail sur le bord de l'eau au port de plaisance. J'avais quelques notes à faire a des dossiers. Et quoi de mieux que regarde les bateaux entre au bord pouvoir m'avance dans ma parasse. Je prends donc mon ordinateur la main et je me rends au port de plaisance. Je vois la longue file devant le café. Je mets en file. Puis tout le long que je file je vois les dernière place se prendre. Je pense et Merde, il a plus de place. Mais je reste en ligne. C'est enfin mon tour. Je prends capuchino. c'est alors que je remarque ma fille seule a une table. Je prends ma commande. Je range mon ordinateur dans mon gros sac à main. Puis je prends mon courage à deux mains pour me rendre a sa table. Je sais qu'elle et moi notre relation étais long d'être parfait. Mais je vais essaie.
Salut, ma chérie dis-je doucement. Je la regarde pendant le moment. Elle n'a pas changé. Et oui son père m'envoyant des photos de notre fille. Puis il m'avait montre instagram a notre rencontre. Cette nuit folie et oui n'avais pas couche ensemble. Comme si rien ne, c'étais passer entre avant. Je sortis de ma tête et dis :
Candice, je peux s'assoit ma chérie ?
Je lui pose la question pure gentille. Je sais très bien qu'elle ne voulait pas parler à sa mère, mais je crois qu'elle y faire. Je suis mère et elle vas devoir accepter que je n'étais pas prête l'époque, mais je sais ce que je ne ferais pas de suite par contre.
Assise sagement sur le bord de l'eau, je profitais enfin de l'air frais du vent sur ma peau. J'avais besoin de relaxer et de décompresser. Depuis que j'avais appris que mon père revenait à la maison à temps plein, je dois avouer que je ressentais une pression continuelle sur mes épaules. Celle d'être parfaite, de le rendre fier, qu'importe la raison et je dois avouer que je n'avais pas eu à vivre ça bien souvent, étant sa petite précieuse. Il faut dire que le coup de Granny qui va le chercher à l'aréoport lui a donné une sale claque au visage quant à la fierté qu'il pouvait ressentir vis à vis de moi.
J'avais pris un café bien corsé à ce petit café du port de plaisance et je m'étais installé le plus loin possible de la civilisation. Malheureusement je n'étais ppas la seule à avoir eu envie de ce délicieux nectar et les tables se remplissait bien rapidement. J'avais mes écouteurs dans les oreilles et mes lunettes fumées sur le nez. Soudainement, quelqu'un me fit de l'ombre. J'ouvris les yeux et c'est là que je l'aperçue. ELLE. Comment osait-elle? Ma chérie? Je baissais mes lunettes sur mon nez et la regarda avec ce regard de dégoût que tout le monde me connait. " Ma chérie? Pffft. J'suis pas ta chérie. Qu'Est-ce que tu me veux?" Elle essayait depuis des années de reprendre notre relation en main, malheureusement pour elle je suis têtue et je n'ai aucunement envie de l'avoir dans ma vie. Elle avait fait le choix de partir, je fais le choix de la garder loin de ma vie. " Ça allait mieux avant que tu viennes t'exposer ici, maintenant tasse toi... tu me fais de l'ombre!" dis-je d'un ton sec. Je remis mes lunettes sur le bout de mon nez. Elle voulait s'asseoir. Eh ben! J'haussai les épaules, pas question de lui parler mais comme il n'y avait aucune place, elle pouvait bien s'asseoir. "Qu'il t'en fasse le plus grand bien, assis-toi si ça te tente, mais j'ai pas envie de faire comme si tout allait bien, comme si on avait une relation parfaite. T'as décidé d'te pousser comme une lâche, maintenant assumes tes actes..." dis-je en remettant l'écouteur à mon oreille et en regardant au loin l'eau bleue.
Je suis vraiment désole baby girl. J'espère que tu sera mesure de pardonner
J'avais besoin de travail un peu donc j'avais décidé le petit café sur le bord de l'eau.J'avais besoin de travail un peu donc j'avais décidé le petit café sur le bord de l'eau. Je n'avais plus de place. C'est alors que je vis ma fille. Je décide d'aller la voir. Je l'appelle ma chérie. C'est la commence me dire que je ne suis pas sa chérie. Je prends une bonne respiration. Je veux rester calme après tout, c'est moi qui à cause tout ça. D'accord, tu n'es pas ma chérie Candice. J'aimerais m'assoit, il n'a pas de place.
Je lui demande comment vas. Elle me dit qu'elle était mieux avant que je viens. Et elle me dit me tasse, car je lui fais de l'ombre. Je soupire et d'ou viens le soleil me place pour ne pas lui faire de l'ombre.
La, je ne te fais pas d'ombre. Il n'y a pas d'autre place donc je suis venue de te voir.
Je la trouve vraiment intense. Mais bon, je sais que j'aurais dû faire ce que je fais. À l'époque, je ne voulais pas vraiment d'enfants. Je me sentais trop mal pour avorter. Donc j'avais décidé de la garde. À cette époque, j'avais gardé espoir quand je la verrais, les choses changeraient. Mais non rien n'avais jamais. Je lui avais donné naissance ne se sentais pas mieux. J'avais décidé de partie. Je voulais continuer mes rêves. Ce que je vois. Ash avaient fait sur un très beau travaille avec elle. Elle était merveille et elle avais le caractère de son père. Je prends une gorgée de mon café et la regarde.
Merci, je sais qu'elle est longue d'être parfaite. Candice, mais je te demande juste de laisser une chance. Que notre relation devient un peu meilleure chaque jour. Je sais que je suis partie. Mais j'avais projet. Je n'étais pas prête à être mère à cette époque et il étais hors de question je tue être innocent.
Je crois que je ne pourrais pas lui donner mes meilleures explications sur ce qui s'est vraiment pense dans ma tête de jeune fille. Puis après, j'avais essayé de reste l'enceinte, mais je n'étais pas capable. Enfin, j'avais eu fausse couche. Peut-être que dieux me lancent signe que je ne devais pas avoir d'autres enfants. Je prends une respiration.
Sinon j'ai appris par ton père que tu voulais entre dans la police.
Grâce à Ash depuis que j'étais avec eux. Il me parle d'elle tous les jours. Montre des photos même si je ne voulais pas. Il a toujours essayé de me faire revenir vers eux. Ash et moi avions couche ensemble. Puis on était devenue proche. On se parle téléphone et texte presque tous les jours. Dû mon emplois du temps, je ne pouvais pas le voir.
Je roule des yeux à ses paroles. Définitif: elle n'arrêtera pas de me pourrir la vie jusqu'à ce que je sois gentille envers elle... bon y a toujours l'option de faire semblant et d'avoir la paix, mais j'avoue que je prends un malin plaisir à la faire chier et à lui faire ressentir toute la haine que j'éprouve présentement pour elle. De toute façon, elle se met le doigt dans l'oeil bien profondément jusqu'au coude si elle croit me regagner en si peu de temps et ses excuses bidons. "Ben... assied-toi, j'm'en fou!" dis-je en roulant des yeux. Définitivement, elle était vraiment emmerdante jusqu'au bout! Elle se pousse enfin du soleil, il était temps!Enfin! Pour ensuite me répliquer encore sa même rengaine, bah oui... j'avais compris, qu'il n'y avait aucune place ailleurs... J'abaisse encore mes lunettes sur le bout de mon nez et la regarde avec un regard tueur : " Je suis pas sourde, j'ai compris qu'il n'y avait pas de place ailleurs!" Je roule des yeux encore une fois. Elle m'exaspère.
C'est alors qu'elle commence sa tirade. Je lève la main droite pour la faire taire. "Woh, woh woh... je m'en fou de tes raisons. T'aurais beau avoir eu un contrat avec la reine d'Angleterre ça me ferait pas un pli. T'es pas dans ma vie et je ne veux pas que tu le sois non plus." lui dis-je d'un ton froid et distant. Et c'est alors qu'elle me dit que mon père ose lui donner des nouvelles de moi. Je me lève d'un bond et enlève mes lunettes d'un geste brusque : " Il a QUOI!? Non mais je rêve, MERDE! Quel con celui là!!!!" J'ai le visage rouge de haine. La veine me tape dans le cou.
Je suis vraiment désole baby girl. J'espère que tu sera mesure de pardonner
J'essaie de vraiment longtemps faire en sorte que ma fille me pardonne. Mais la, je dois dire que je ne sais plus vraiment comment. Je suis arrivé devant, car il avait plus de place. Elle me dit que cache son soleil. Je dois dire que la sache que je trouve de soupir. Puis après je lui m'assoit et elle dis qu'elle s'en fiche. Donc je m'assois. Je prends une bonne respiration. Je dois rester calme pas tomber mes sautes du humeur. Je prends gorgée. Je lui dirais n'avais pas de place. Elle me dit qu'elle n'est pas sourde.
J'essaie de lui expliquer les raisons. Qui m'avaient poussé la laisse tomber. Je ne comprends pas pourquoi son père lui avait bien pardonné pourquoi papa elle. Je soupire. Sa façon, de me parler me tape vraiment sur les nerfs. Je n'arrive pas croire qu'ash élevé notre fille à être une vraie petite ingrate.
J'essaie d'être gentille de t'expliquer les raisons pour que tu comprennes. Tu pourrais avoir un respect jeune fille. Je suis sure que ton père t'appelle ainsi.
Je prends une gorgée de café. Je m'étouffe presque quand elle traître son père de Con. J'ai pis entendu. Je soupire. Je suis vraiment découragé de son comportement mon égard et envers celui de son père.
Je comprends que tu peux traître de tous les mots. Du mal que je tais fait. Mais je refuse que tu ose dire telle chose sur celui qui élève c'est clair.
Ce qu'elle ne savait pas que son père me parle toujours d'aller. Je m'avais envoyé des vidéos de ses premiers que j'avais toujours dans mon ordinateur.
Pour ton information, ton père m'a envoyé le texte des photos et me dit tout sur toi. Car il voulait que je te connaisse comme lui te connais. Dis-je d'un ton sec ?
Et là ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Elle me demandait du respect? Du respect? Quel genre de respect on peut avoir envers une femme qui dit qui ne voulait pas se faire avorter mais continue sa vie sans aucun scrupule? Non mais il faut complètement être déconecté de la réalité. Je ne peux pas me retenir plus longtemps. Mon visage vire au rouge et mes poings sont serré. Mes mains en sont blanches tellement je les fermes. J'entre même mes ongles dans la paume de ma main pour éviter d'hurler et que tout le monde nous regarde! Et puis quoi encore? Après tout c'est pas comme si tout le monde ne nous regardait pas déjà. Et puis... c'est pas comme si toute la ville ne connaissait pas notre histoire. Ça, tout le monde la connaissait, malheureusement pour moi. Je pointe mon index sur elle et haussa le ton en articulant chacune des syllabes que je prononçais afin qu'elle enregistre bien comme il faut ce que je lui disais: «Non mais j'aurai tout vu! C'est toi qui parle de respect? En a tu seulement eu un jour envers moi? Non. Ben je t'en dois pas non plus! Aucun! C'est pas toi qui va m'apprendre à vivre, j'ai vécue sans toi durant toutes ses années et crois-moi, c'est le plus beau cadeau qu'on ait pu me faire!»
Et je me mis à rire. Un rire incontrôlable. Décidément, elle se croyait tout permis. Cette fille n'avait vraiment aucune gêne. S'inviter à ma table, me faire la moral sur comment j'appelais ou traitais mon crétin de père et essayer de quémander que je l'aime non mais faut être complètement à côté de la plaque. J'explose «Tu ne sais rien de lui, rien de moi ... et rien de nous. T'as jamais eu aucun droit sur moi et T'en aura d'ailleurs jamais. Notre lien s'est arrêté le jour ou le médecin a coupé le cordon. Et le comment je l'appelle ou que j'agis envers lui ça te regarde pas non plus. Tu te crois tout permis parce que du jour au lendemain on se croise? Non mais j'aurai tout vu!»
Ça y ait, tous les yeux sont rivés sur nous. Probablement même que certaines petites voix commence a s'élever autour de nous et que sa putain de réputation en prend un coup. Tant mieux. Elle me parle sèchement et je me met à rire a nouveau, jaune cette fois ci. Comment pouvait-il avoir oser faire une telle chose. Me trahir ainsi? Il avait promis. « à partir de maintenant, vous êtes tous les deux reléguer aux oubliettes!!!!» dis-je en commençant a m'éloigner. Pas question de rester ici une seconde de plus. Il allait y avoir un meurtre qui serait commis si je restais là.
Je suis vraiment désole baby girl. J'espère que tu sera mesure de pardonner
Je crois que j'ai juste quitté avec non-café. Car ma fille me blesse d'un certain sens avec ses paroles. Et saute l'humeur ce moment, j'essaie de cœur saute en ce moment. Je la vis change les trait de son visage se rentre les ongles dans la peau. Elle semblait vraiment en colère. Je lui avais fait du mal. Mais je n'étais pas prête. J'avais remord presque tout de ma vie. Je me sentais lâche de retourner vers eux. Donc j'avais juste avance et continue sans eux. Puis je voulais temps la revoir après de moi. Mais plus je lui parle plus et je réalise qu'elle avait sans doute raison.
D'accord, tu me dois aucun respect. Bien moi, c'est une chose que je regrette, mais bon, tu dois fiche complètement.
J'étais déçu de comment, son père l'avais élève. Elle était une petite ingrate. Oui, je les blesse, mais dois quand avec un certain respect. Tout le monde regardait tout le monde connaissais notre histoire. Je l'écoute me parle. Je prends une gorgée de mon café. Je prends une bonne respiration.
D'accord, je ne vous connais pas du tout. Mais toi, tu penses que ne dois juste pas dire telle chose sur l'homme qui t'as élève.
Je ne dis rien sur le cordon. Car je ne veux pas laisser dans cette conversation. Déjà que je la trouve, essaie le pénible notre conversation. C'est alors que son père ne fait plus partie de sa vie. Elle est vraiment décourageante cette petite-là.
Si c'est ce que tu désir. Dis-je en jouant avec une mèche de cheveux.